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passion corée

  • The God and the Gwisin de Sophie Kim

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    • The god and the gwisin, Sophie Kim, folklore coréen, littérature coréennee, Corée du Sud, fantômes, dieux, passion coréeMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec The God and the Gwisin ?

       "J'ai lu et aimé le premier tome de cette série de Sophie Kim alors il n'y avait aucune chance que je passe à côté du second mais j'ai en plus eu la chance de le recevoir en service de presse numérique via la plateforme de Netgallley."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Plus de 30 ans après la mort de Hani, Seokga, le dieu de la ruse, est toujours à la recherche de sa réincarnation mais lorsqu'il va enfin la trouver, il sera peut-être déjà trop tard..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "J'ai encore plus aimé que le premier. Peut-être parce que je connaissais déjà les personnages, que l'on entre tout de suite dans le vif du sujet ou que je savais à quoi m'attendre mais vraiment, je me suis régalée. Le folklore coréen reste à l'honneur, pour mon plus grand plaisir, mais c'est l'humour que j'ai le plus apprécié, le point fort de ce tome-ci il me semble. Je ne me souvenais pas que c'était si drôle ou alors c'est la situation, la croisière, le bébé... La romance aussi est réussie, même si ce n'est pas ce que je recherche en priorité, et particulièrement touchante, notamment grâce au lien unique qui relie les deux héros. Comme dans le premier, j'ai également adoré la relation entre les deux frères qui prend ici un tournant inattendu. L'enquête, elle, est beaucoup plus anecdotique, il est vrai, mais je m'amusais tellement que je m'en suis accommodée sans presque le remarquer. Presque."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Ce n'est pas une fin ouverte et elle est parfaite telle qu'elle est, d'ailleurs je pensais qu'il s'agissait d'une duologie et ça m'allait très bien, moi qui n'aime pas les séries à rallonge mais avec le potentiel qui reste à exploiter et les éléments mis en place dans les dernières pages, je serais vraiment déçue si nous n'avions pas une suite !"

     

        Mlle Alice, merci, et à mercredi prochain...

    Retrouvez toutes mes chroniques autour de la Corée du Sud ICI

    et toutes celles sur la littérature coréenne, par LÀ

     

    Alors, vous craquez pour "The God and the Gwisin" ?

  • Last of the Talons de Sophie Kim

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    • last of the talons, littérature coréenne, mythologie coréenne, Sophie kim, corée du sud, passion corée, littérature jeunesseMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Last of the Talons ?

       "Encore l'un des nombreux livres qui avait rejoint l'une de mes nombreuses listes de livres coréens ou autour de la Corée et qui est venu augmenter ma PAL à l'occasion d'une offre sur la version numérique."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Shin Lina appartient au gang des Blackbloods mais n'allez pas croire que ce soit de son plein gré. Pas que cela ne la dérange de voler ou de tuer mais si elle obéit à Kalmin, leur chef, c'est uniquement pour protéger sa petite soeur. Alors quand ce dernier va être enlevé par un Dokkaebi, elle n'aura d'autre choix que de le suivre dans l'autre Royaume pour le ramener..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "Avant toute chose, j'aimerais préciser que le fait d'avoir lu ce roman en numérique a, je pense, influencé mon avis final. Je n'avais qu'une hâte, revenir au livre papier, et cela a sûrement accentué mon impression de longueurs et de répétitions. Pour autant, ça ne change rien au fait que l'intrigue est extrêmement classique, peu de surprises ici. Ce n'est pas mauvais pour autant, c'est même plutôt sympathique, mais à part le folklore coréen, un très bon point pour moi, ça manque quand même un peu d'originalité. L'autrice emploie de plus une double temporalité, ou du moins, de nombreux retours dans le passé, un procédé qui m'agace presque toujours, et comme ici le suspense est vraiment inexistant, j'aurais de loin préféré savoir dès le début ce qu'il en était de ces évènements. Ça n'aurait rien gâché et cela aurait permis de donner un peu d'épaisseur au personnage principal qui en manque cruellement. Je ne l'ai pas trouvée très attachante et  beaucoup de ses réactions ne m'ont pas parue cohérentes. Heureusement, le dokkaebi est là."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "S'il y a une chose qui est vraiment réussi dans ce roman, c'est cette fin. J'ai adoré l'idée, assez même pour me donner envie de lire la suite malgré mes nombreuses réserves mais comme il y a encore deux tomes, j'hésite. Affaire à suivre."

     

        Mlle Alice, merci, et à samedi prochain...

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    Alors, vous craquez pour "Last of the Talons" ?

  • Ces Soirs Rangés dans mon Tiroir de Han Kang

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    • Han Kang, ces soirs rangés dans mon tiroir, poésie, prix Nobel de littérature, littérature coréenne, corée du sud, passion corée, hangukMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Ces Soirs Rangés dans mon Tiroir ?

       "Je voulais résister, je n'avais pas prévu de craquer, je croyais même avoir réussi mais ce livre ne cessait de m'appeler. Je veux tout lire d'Han Kang, le moindre de ses mots et Grasset a eu la gentillesse de m'envoyer ce recueil pour combler ce désir."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Les poèmes de Han Kang, traduits en français et rassemblés dans cet ouvrage, nous ouvrent une porte sur son univers et ses thèmes de prédilection..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "Je l'ai souvent répété, la poésie ce n'est pas mon univers. J'ai adoré ça plus jeune mais aujourd'hui je n'y suis plus très sensible et par-dessus le marché, je ne comprends pas bien l'intérêt d'une poésie traduite. Ça part mal du coup, non ? Mais ça ne m'empêche pas de faire quelques exceptions, pour une raison très simple, c'est un incroyable révélateur (d'une personne, d'un pays, d'une culture...) et ça, c'est quelque chose qui me passionne et qui m'attire. Alors je ne m'extasie peut-être pas sur chaque poème que j'ai pu lire (ce qui ne m'empêche pas d'avoir noté quelques très belles phrases) mais je suis une nouvelle fois frappée par la puissance de la plume de Han Kang et par ses obsessions aussi, ces sujets ou ces mots qui reviennent sans arrêt comme la mort, le sang mais aussi la neige, sa langue, sa bouche... Et bien sûr, je ne sais pas ce que cela dit d'elle exactement mais ça m'intrigue et m'interroge, et j'aime ça."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Et bien même si je suis toujours un peu effrayée par la poésie et la conscience que j'ai d'y être parfois un peu hermétique, j'ai bien l'intention de continuer à en lire de temps en temps. Quant à Han Kang, vivement le prochain."

     

        Mlle Alice, merci, et à mercredi prochain...

    Retrouvez toutes mes chroniques des oeuvres de Han Kang ICI

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    Alors, vous craquez pour "Ces Soirs Rangés dans mon Tiroir" ?

    Catégories : Lire de la Poésie 0 commentaire